Le début de la guerre

(HRPG : Les militaires polonais et allemands sont invités à me rejoindre)
1er Septembre 1939 :
Merc était dans un Opel-Blitz 3,6-36S, avec d'autres soldats allemands. Armé d'un fusil Karabiner 98k, il n'était pas bien rassuré. Dans une heure, une opération qui allait marqué le début de la guerre. Merc savait ce qu'il devait faire. Les paroles du commandant résonnait dans sa tête. La plupart des soldats était inquiet et avaient peur. La peur de mourir.
La compagnie D du 11e Régiment d'Infanterie était l'avant garde du secteur 3. Les Polonais étaient mal armés, mais, était dangereux.
D'ailleurs, tous les ennemis armés étaient dangereux. Le lieutenant regarda au loin, puis, il fit signe au pilote de s'arrêter.
[en Allemand] On est arrivé ! On descend !
Ils sortirent tous, sur leurs gardes. Doucement, le lieutenant repris parole :
[en Allemand] On a 100 mètres à parcourir avant de rejoindre la frontière défendue par deux avants postes. Le premier est Allemand, le deuxième polonais. Les gardes-frontières allemands sont au courant, ils nous aiderons. On doit aussi prendre des échantillons d'armes polonaises pour nos rechercheurs.
Ils commencèrent de marcher l'un derrière l'autre, braquant leurs armes à chaque bruit. Il ne faisait pas encore jour, c'était l'aube. Heureusement, les polonais avait un grand désavantage : ils avaient le soleil dans les yeux lors de la prise de l'avant poste.
Les soldats continuèrent de marcher lentement, accroupi, en prenant garde au paysage. Toutes les minutes, ils s'arrêtaient pour se relier. Ainsi, le dernier passait en premier, et ainsi de suite.
Après cinq minutes de marche, ils arrivèrent devant la frontière. Deux avant-postes en bois étaient présent. Au dessus de chaque avant-poste était présent une antenne de communication. Un mur épais de 1,5 mètres en béton délimitait la frontière, sauf au entrée ou des routes passaient. Les gardes allemand attendaient, tandis que les polonais n'étaient pas alerté.
Merc se coucha, retint sa respiration quelques secondes, puis appuya sur détente. La balle toucha les sinus d'un polonais, qui s'effondra à terre, avec une flaque de sang. Les soldats polonais furent dès lors alertés...

1er Septembre 1939, 3h 25, Frontière Polonaise / Allemande, Secteur 3.
Temps Nuageux, Chaleur 8°C
Les gardes polonais furent alertés. Certains couraient dans les postes à mitrailleuses, de vulgaire postes en bois, non renforcé. L'avant-poste disposait de trois mitrailleuse Hotchkiss Mle 1914. Les polonais allèrent s'armer de fusil Kbk wz. 1929. Vingt ennemis polonais en position défensive. Un soldat allemand balança une grenade, qui fit exploser l'antenne. Les gardes allemands, avec des vieilles Maschinengewehr 08 (MG 08) au nombre de quatre, s'employèrent à attaquer les misérables polonais. La surprise fut un bon élément. Les mitrailleuses crachaient des balles sur les abris en béton et en bois. Les polonais eurent droit un déluge de feu, mais résistèrent dans la nuit. Merc lança une grenade dans un abri. La détonation puis l'explosion rasèrent un abri à mitrailleuse et firent un début d'incendie. Les soldats allemands chargèrent après deux minutes d'attente. Certains soldats tombèrent. La plupart arrivèrent devant l'avant-poste, et se protégèrent. Au total, un mort et deux blessés.
Les soldats placèrent des baïonnettes sur leurs fusils, puis chargèrent le bâtiment. Les abris à mitrailleuses brûlaient, soit partiellement, soit totalement. La charge débuta. Des coups de feu se faisaient attendre, puis des cris des polonais qui tombaient sous les balles et sous les coups multiples de baïonnettes. Merc planta sa baïonnette au hasard, mais réussit à toucher un polonais. Les gardes allemands stoppèrent les tirs de mitrailleuses dès que les polonais les stoppèrent. Le combat était presque fini dans l'avant poste. Merc planta sa baïonnette dans la radio polonaise, qui court-circuta. Le combat fut enfin terminé après 3 minutes d'horreur. Merc, comme d'ailleurs tous les soldats allemands, souffla. Mais la prise du secteur 3 n'était pas terminé.
Les gardes allemands appelèrent les renforts, tandis que les soldats allemands sécurisèrent les abris anti-aérien en bois et l'armurerie souterraine.
Dans l'armurerie, des Kbk wz. 1929, des Kbk wz. 1898 et des Vis wz. 1935 y étaient entreposés. Au total, plus de 35 armes étaient présentes, ainsi que 4 charges explosives de dégagement.
Les polonais avaient perdus 20 hommes lors de l'attaque, un avant-poste, et les communication du secteur 3.
Les chars et les véhicules motorisés allaient bientôt arriver.
Les Allemands avaient deux morts et quatres blessés.

BILAN DU COMBAT N°1 :
1) Service National des Garde-Frontières Armés Polonais (SNGFAP) :
- 25 gardes morts
- 30 armes (armurerie) + 2 Hotchkiss Mle 1914 (+ 1 en état endommagé) (postes de mitrailleuses) + 25 carabines Kbk wz. 1929 (gardes polonais) perdues
- Système de communication du secteur 3 détruit
- 1 Avant-Poste frontière perdu
2) Armée Allemande (Wehrmacht) de Terre (Heer) :
- 2 soldats morts
- 4 soldats blessés
- 30 armes (armurerie) + 2 Hotchkiss Mle 1914 (+ 1 en état endommagé) (postes de mitrailleuses) + 25 carabines Kbk wz. 1929 (gardes polonais) gagnés
3) Service National des Gardes-Frontières Armés Allemands (SNGFAA) :
- 1 Avant-Poste Frontière gagné

RESULTAT :
Frontière Ouverte
Campagne de Pologne Ouverte
25 morts dans le SNGFAP

1er Septembre 1939, 4h 45 à 5h 20 (Pluie fine, vent faible, 7°C) :
Après avoir dépouillé les cadavres polonais, secourut les soldats blessés allemands et avoir pris l'avant-poste, les soldats attendirent l'arrivé des chars. Une heure passa. Une pluie fine tomba enfin, avec un petit vent du Nord. Le vent caressa le visage de Merc, l'arme entre les mains, les yeux levés vers le ciel.
Soudain, on attendit des grondements de moteurs. Les soldats se cachèrent, en position de combat. Ce n'était rien, juste le bruit des moteurs des chars qui venait de passer le côté gauche du secteur 5.
Enfin, arriva les chars au secteur 3. Deux convois blindés constitués de Panzer I mod. A et de Panzer II mod. A. Ils passèrent la frontière sans problème : la guerre était belle et bien déclaré. L'aviation arriva aussi, pour bombarder les villes et larguer des parachutistes. Le lieutenant ordonna à ses hommes, dont Merc, de monter sur les chars Panzer II mod. A, ce qu'ils firent assez vite. L'objectif était de prendre la ville de Leszno dans les premières heures du conflit. Les chars mirent plein gaz, pour se rendre à leur objectif. Des compagnies motorisés entières arrivaient, pour prendre d'assaut les villes proches de la frontière. Des bombardiers décollaient depuis une heure, pour prendre d'assaut sous les bombes les différentes villes. Après 25 minutes, les chars arrivèrent à l'entrée de la ville. Des parachutistes opéraient déjà un combat acharné. Les soldats descendirent, tandis que les chars allaient à la charge. Ils traversaient les immeubles, montagnes de débris, et autres objets bloquant ou ralentissant avec acharnement.

1er Septembre 1939, Leszno :
Une pluie fine tombait. Des pièces d'artilleries de 88mm arrivaient de l'Allemagne pour bombarder Leszno. Une escadron de bombardiers (soit 4 bombardiers) devait bombarder le centre-ville. Les polonais offraient une rude résistance. Ils avaient quelques 7TP jw, des chars moyens armés de canons antichars de 37mm. Ils c'étaient retranchés dans des positions défensives de fortunes. Les Polonais construisaient rapidement des positions de défense de fortune, et des abris antiaérien. Avec des mitrailleuses légères, ils espéraient détruire l'escadron de bombardiers et l'appui aérien.
Les chars allemands arrivèrent enfin aux portes de la ville. Les soldats descendirent et se mirent en position. Un des chars éclaira le reste du groupe en fonçant. Mais, un lance-roquettes le pulvérisa dès qu'il eut franchi les premières rues. L'infanterie devait donc se salir pour les chars. C'était très tôt le matin, et la pluie et le brouillard ne facilitaient pas la tâche. La compagnie se sépara. La section de Merc fut envoyé pour prendre à l'envers les troupes polonaises et donc en tenaille. Les canons pulvérisaient des immeubles. Marchand sur des pavés, très inquiet, armes levés, les soldats allemands progressaient lentement.

Pas fini